frenchhope: importation* + 0_archivebox* + empreinte environnementale*

Les signets de cette page sont gérés par un administrateur.

3 signet(s) - Classer par : Date ↓ / Titre / Vote / - Signets des autres utilisateurs pour ce tag

  1. "Sobriété signifie baisse de la consommation matérielle, mais certainement pas baisse de financement des services publics, au contraire. Il faut moins de dépenses consacrées à la consommation matérielle, mais plus de dépenses d’avenir, notamment dans les services publics. L’idée serait simplement de consacrer quelques points de PIB en moins à notre consommation matérielle – notamment notre consommation matérielle importée, le déficit commercial de la France s’élevant en 2021 à plus de 3 points de PIB – pour réinvestir cette somme dans des dépenses beaucoup plus utiles, notamment dans l’éducation, la santé et les services essentiels."
    https://usbeketrica.com/fr/article/la...gens-vivent-dignement-de-leur-travail
    Vote 0
  2. L’emprise énergétique se définit comme la somme des énergies requises pour satisfaire les besoins en énergie d’une personne, et inclut l’énergie directe utilisée et l’énergie grise. Pour 2012, les estimations pour la France indiquent que l’énergie grise représentait 75 % de l’emprise énergétique des ménages. Au niveau national, l’INSEE estimait que pour 2012, prendre en compte l’emprise énergétique augmentait la consommation énergétique d’environ 20 %. Comme pour les émissions de CO2, prendre en compte l’énergie liée aux importations apparaît comme la seule façon de comptabiliser correctement notre consommation énergétique. Et de rendre ainsi visible cette face cachée de notre dépendance à l’énergie…
    https://usbeketrica.com/fr/article/l-...-consommation-energetique-quotidienne
    Vote 0
  3. Le problème, c’est que la plupart des gens veulent des réponses faciles à cette question. Malheureusement, il n’y en a pas !

    Par exemple, j’ai souvent pensé à devenir végétarien pour des raisons éthiques et environnementales. Mais je n’ai pas envie de manger à la place de la viande du soja ou d’autres aliments importés de l’autre bout du monde, du fait des émissions carbone générées pour les acheminer.

    Et si nous devons reconnaître le dilemme éthique que représente le fait de manger des animaux, qu’en est-il des animaux du sol ? Pourquoi écraser, trancher et découper en dés des mini-bêtes dans les exploitations agricoles est acceptable, mais pas lorsqu’il s’agit de grosses bêtes ? Si je suis cette logique jusqu’au bout, dois-je devenir un « fruitarien », qui ne mange que des fruits bio cultivés près de chez lui ?

    ***

    On peut, par exemple, défendre que l’agneau néo-zélandais consommé en France a moins d’impact sur l’environnement que l’agneau produit localement. La production d’agneau néo-zélandais implique moins d’intrants « riches » en carbone tels que les engrais. Il existe également un système de transport très efficace en Nouvelle-Zélande, qui repose sur des fermes plus grandes et des camions plus gros. Il permet de produire et de transporter plus de viande avec moins de terre et moins d’émissions. Il en résulte une réduction des gaz à effet de serre par kilogramme de viande.

    ***

    C’est alors le moment de cultiver ce que les Danois appellent « l’hygge », un art de vivre qui permet de rester positif lors des longs hivers. En créant par exemple une ambiance conviviale et chaleureuse à base de ragoûts, de soupes et de bouillons réconfortants.

    ***

    Combien de personnes font en effet des bocaux avec leur surplus de fruits et légumes ? Consommer des aliments locaux de saison en grande quantité tout au long de l’année implique de restructurer les systèmes de production alimentaire et les chaînes d’approvisionnement traditionnelles.

    Celles-ci ont été mises à mal par la concentration de l’offre alimentaire entre les mains de quelques acteurs. L’hiver met à l’épreuve notre capacité à préserver les richesses de l’été et de l’automne, et le printemps nous soulage avec ses artichauts, pommes de terre nouvelles, rhubarbe, roquette, oseille et épinards. Puis le cycle recommence.

    Encore une fois, s’approvisionner de façon réellement durable n’est pas un jeu d’enfant. Il faut pour cela faire revivre les connaissances et les processus culturels que les supermarchés nous ont fait oublier. Mais les avantages d’un approvisionnement alimentaire local et saisonnier sont grands pour la nature et notre santé. Renouer avec la terre et ses rythmes saisonniers fait du bien à tous.
    https://theconversation.com/une-alime...e-tout-depend-de-la-ou-jhabite-153330
    Vote 0

Haut de page

Première / Précédent / Suivant / Dernière / Page 1 de 1 Marque-pages / ESPITALLIER.NET: Tags: importation + 0_archivebox + empreinte environnementale

À propos - Propulsé par SemanticScuttle